J'ai pris la décision d'écrire lorsque j'ai pris conscience de l'inefficacité de notre système éducatif. J'ai constaté que, bien que nous passions beaucoup de temps à l'école, nous produisons peu en matière de biens manufacturés. En poursuivant mes recherches pour comprendre les raisons de cette situation préoccupante, j'ai réalisé que la santé de l'école est un reflet du niveau culturel d'une société, car l'école est le principal lieu de transmission des valeurs culturelles. C'est alors que j'ai choisi de centrer mon livre sur les valeurs culturelles, en les définissant, en les considérant comme la cause de notre mentalité et en appelant à leur ennoblissement, afin de sortir de la sclérose culturelle dans laquelle nous sommes enfermés. Le sous-titre « La question de l’école et la valorisation de l’effort » évoque la motivation qui m'a incité à rédiger cet ouvrage, tandis que le titre « Autocritique » reflète le point de vue d'un Africain qui interroge certaines valeurs de la société libérale, valeurs que les Africains ont assimilées, en particulier le penchant excessif pour les festivités et le goût prononcé pour le divertissement. |
AUTOCRITIQUE la question de l'école et la valorisation de l'effort
19,20 €Prix